La cause de la mort d’Amy Winehouse demeure inconnue après l’autopsie pratiquée sur la star. La confirmation des analyses devrait prendre entre deux et trois semaines.
Un psychologue a révélé hier que la chanteuse avait refusé le programme d’aide à la lutte contre l’addiction du gouvernement britannique, préférant à la place une clinique privée pour les célébrités. D’après le médecin Ash Medford, un rapport avait déjà prévenu : « si elle ne reçoit pas une aide de l’état, une aide psychologique, alors il est plus que probable qu’elle n’atteigne pas ses 28 ans. » Autrefois voisin de la star, il ajoute : « le gros problème est que les célébrités telles qu’Amy Winehouse choisissent souvent leur propre thérapie, (…) elle avait choisi de payer pour qu’on lui dise ce qu’elle avait envie d’entendre (…) et ça ne marche pas, ce genre de chose ne doit pas être payant. »
Bien que beaucoup spéculent à dire que sa mort serait due à une surconsommation de drogue, sa famille conteste ces accusations et les définit comme « absurdes ». Son père affirme même qu'elle ne prenait plus de drogues depuis trois ans, mais qu'elle se battait avec son addiction à l'alcool. Selon des voisins, Winehouse avait l’air pleine de vie ces derniers jours et sa disparition subite les a surpris. La chanteuse jouait de la batterie dans sa maison quelques heures avant sa mort et aurait été retrouvée sans vie dans son lit par son garde du corps.
Ses funérailles se sont tenues hier dans une synagogue de Londres en petit comité avec sa famille et ses proches.