TOI TU T'EN BATS MAIS CE N'AIT PAS LE CAS DE TOUT LE MONDE ALORS EVITE DE POSTER INUTILEMENT STP !!!! :furious:

on s'en bat de c'vieu label!

FREE ZEEKEY

ils sont non coupables !!!!

Ils ont été déclarés NON COUPABLE !!

tu t'en bat, ce proces c'est quand meme l'avenir d'un label de rap qui est en jeux.

ON S'EN BAT LES TESTICULES !!!

FREE ZEEKEY

je leur souhaite bonne chance pr le verdict, sa doit etre dure de d'avoir attendre le verdict mé bon c pa forcément mauvais(je sui pa expert alor j'espère).

C'est clair ! Les dites conclusions semblent très nettement relancer les spéculations au lieu de tirer un trait, de prononcer un verdict sur ce procès hautement médiatique et qui fait couler beaucoup d'encre !

ben c'est bizarre un temps ils daisaient que c'etaient fini et maintenant il remette tout sur la table ;)

S'il est hésitant c'est qu'il y a des raisons n'oublie pas ça !

Les "conclusions" hypothétiques censées figurés dans l'article résultent en un point stagnatif débouchant sur un report du verdict et donc rien n'est pour ainsi dire véritablement fondé dans le sens que les preuves sont insuffisantes ! Ainsi un seul mot d'ordre est à observer : just wait and see !

Il y avait aussi le producteur 7 Aurelius et le CEO de Rap-A-Lot J Prince qui étaient venus. Apparement les frères Lorenzo ne s'en sortent pas si bien que ça puisque le jury est très hésitant... Wait and see.

Hier, était présent une pléiade d’artistes venus soutenir les CEO du Murder Inc. On avait pu apercevoir entre autres Jay-Z, Ja Rule, Ashanti, Russell Simmons, Damon Dash ou Fat Joe. On annonçait la fin du procès et l’énoncé du verdict pour jeudi, mais finalement le jury n’a pu prendre aucune décision. Les quatorze jurés, quatre femmes et dix hommes, ont demandé à revoir les documents de cette affaire, comme les divers témoignages ou les documents financiers.

Hier, l’avocat de la défense Gerald Shargel a fait son possible pour défendre ses clients, en apportant notamment de nouvelles preuves qui déstabiliseraient le témoignage de Donell Nichols. Pour s’appuyer, il plaida que ses clients devaient être acquittés selon le principe du « doute raisonnable », car les preuves apportées ne correspondaient pas à la bonne juridiction.

Finalement, après cinq heures de délibération, le jury a demandé à voir d’autres preuves, comme le témoignage du détective Anthony Castiglia ou les documents trouvés lors de la perquisition chez les Gotti. Le greffier finit par déclarer que le jury n’avait pu délibérer et que le procès était reporté au lendemain où les premières conclusions se feront savoir.